Le tatouage gingival, si il est la plupart du   temps d’origine ethnique et héréditaire, il peut aussi s’agir de tatouage traumatique ou d’origine prothétique ou iatrogène.

Comme les mélanosomes n’atteignent pas le membrane ou la couche basale, avec le laser il faudra effectuer la vaporisation des couches superficielles des tissus conjonctifs jusqu’à vaporisation des mélanocytes sans toutefois dépasser la basale. Comme celle-ci n’est pas affectée il y aura réparation “Ad integrum” des couches cellulaires. À la différence d’une abrasion aux moyens d’instruments rotatifs, l’hémostase est parfaite  et il n’y a pas nécessité de poser un pansement gingival. L’anesthésie sera topique sous forme de gel, pommade ou crème à base de lidocaïne/tétracaïne.